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L’argent des contribuables
06/10/2006 23:02
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voyage dans le monde du fun
06/10/2006 22:59
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Hold-up sur le cinéma marocain
04/10/2006 23:19
Parce qu’il ne faut pas se leurrer, le public est le dernier des soucis des responsables du cinéma au Maroc. On lui fourgue n’importe quoi et on l’oblige à consommer la médiocrité pour le rendre beaucoup plus insipide, effacé et résigné. Mais le public marocain est connaisseur, il est intelligent, il aime le grand cinéma, il a des ouvertures sur le monde via le piratage, le numérique, la parabole et autres VCD, il cerne la chose. Il vous demande des comptes puisqu’il boude vos films, fuit vos productions et se réfugie à Derb Ghallef. Réfléchissez-y, c’est apparentable à un crime contre l’humanité.
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voyage dans le passee
04/10/2006 23:16
Et les réalisateurs doivent militer pour avoir le droit de regard sur ceux qui vont lire leurs travaux qu’il s’agit d’une commission institutionnalisée ou d’un organe privé. Car je vois très mal un Ahmed Boulane présider le jury d’une soutenance de thèse de Doctorat en Médecine, ou un Hakim Belabess, membre d’une commission d’évaluation du budget annuel du gouvernement ou encore Narjiss Nejjar ou Mohamed Assli juger du travail d’un professeur dans sa classe de faculté. Il y a des spécialités dans ce monde heureusement pour éviter les mélanges de genres et les conflits d’intérêts. Pourquoi la commission du fonds d’aide à la cinématographie ne tient-elle pas compte d’aucun critère solvable pour donner aux réalisateurs leur dû et leur éviter des désagréments inutiles puisque pour la plupart, ils ne portent aucun crédit à ceux qui jugent leurs œuvres. Ce qu’il faut faire d’urgence pour nous épargner à tous et à ce pays des manifestations épidermiques cinémateuses, c’est de respecter le contribuable, c’est-à-dire vous et moi, qui allons au cinéma, qui payons nos tickets sur lesquels on prélève un pourcentage, reversé directement dans les caisses du fonds d’aide.
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moi
31/08/2006 23:11
C'est un film qui ne me concerne pas directement. C'est une histoire où sont évoqués en premier lieu les jeunes d'aujourd'hui, leur musique, leur vie, entre autres. Il y a peut-être une ressemblance esthétique Si on prend «Ali, Rabiâ et les autres» et «Les Anges de Satan», c'est pratiquement la même histoire, mais qui se passe trente ans plus tard sur les mêmes thèmes de la musique, de la justice, de la liberté...La comparaison peut se faire au niveau des acteurs qui étaient jeunes dans «Ali, Rabiâ et les autres». Aujourd'hui, ils jouent le rôle de parents, comme le cas de Younès Mégri qui se trouve confronté aux problèmes de son fils. Donc, il se voit prisonnier de ce qu'il a vécu lui aussi et c'est là où il y a l'allusion et l'empreinte du temps qui n'a, en fait, rien changé. Donc, dans «Les Anges de Satan», on décortique l'histoire des quatorze jeunes qui ont été arrêtés parce qu'ils jouaient de la musique hard-rock, pour ébranlement à la foi musulmane, alors qu'ils n'étaient en train que de vivre leur jeunesse.
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